|
Une Politique de la Psychanalyse Aujourd'Hui ?
Michel PLON
Parmi tous les discours qui traitent de la situation de la psychanalyse dans le monde d'aujourd'hui, deux devraient retenir plus particulièrement l'attention, en cela qu'ils sont constitutifs d'une alternative à même, si l'on n'y prend garde, de fonctionner comme un étau, instrument propre à engendrer la paralysie puis la mort.
Le premier discours est généralement tenu dans une tonalité chargée d'angoisse : la psychanalyse est en crise y énonce-t-on, elle est divisée en églises et en chapelles qui n'ont d'autre souci que d'anéantir leurs rivales, elle est devenue de ce fait incapable de se développer, d'innover et, pire encore, incapable de s'organiser pour résister aux attaques frontales que la société moderne, guidée par des idéaux d'efficacité et de sécurité, mène contre elle en recourant à divers moyens : licenciements des analystes dans les lieux dits de soins, mise sur le marché d'une panoplie de produits pharmaceutiques supposés soulager les patients des diverses formes de souffrances psychiques dont ils se sentent atteints et de leur éviter par là toute espèce de questionnement sur leur désir, le sens de leur vie et partant sur celui de la société dans laquelle celle-ci s'accomplit, multiplication des psychothérapies de toutes espèces censées être plus efficaces, plus rapides et moins coûteuses que la psychanalyse, organisation et réorganisation juridique des professions médicales et paramédicales. Rien d'absolument faux dans ces énoncés, si ce n'est que du statut de constat qui devrait être le leur, prélude à la réflexion et à l'action, ils tendent à se transformer, dans leur inlassable répétition, en une plainte avec ce que cet exercice suppose d'immobilisme et partant, de jouissance.
Le second discours, sorte de réponse au précédent ne lui est opposé qu'en apparence, il se veut emprunt de sérénité : bien, bien, disent à peu près ceux qui le tiennent, il n' y a pas là motif à s'inquiéter, au contraire ; l'éclatement institutionnel de la psychanalyse est signe de sa vitalité, peut être même constitue-t-il la manifestation de son essence, la démonstration de l'incompatibilité de celle-ci avec la conception freudienne des "foules artificielles" ; par ailleurs, soutiennent les mêmes, on a tout lieu de reconnaître dans les diverses attaques de l'ordre social contre la psychanalyse l'attestation de la ténacité de son caractère subversif décidément inaltérable. Difficile de ne pas entendre, là encore, tapie derrière cette assurance et cette certitude répétées, la même petite musique de la jouissance.
Mortifère, cette alternative l'est, comme toute alternative dont la fonction est de mettre du deux en avant dans la perspective de faire de l'un. Au ou bien, ou bien, on sait depuis Freud, et Lacan a amplifié la portée de cette leçon, qu'il faut substituer du "ni l'un ni l'autre" ou encore de "l'un et l'autre"1 à même de laisser place à du tiers. Très concrètement parlant, le tiers exclu dans l'alternative évoquée n'est rien moins que la société. Exclue celle-ci l'est sous deux formes qui se déduisent de chacun des deux discours constitutifs de l'alternative : exclue en tant qu'intouchable, vécue comme toute puissante, inattaquable et victorieuse dans le premier discours ; exclue comme impuissante, malade et tout juste digne de condescendance, voire de mépris, dans le second. En d'autres termes, l'alternative dans laquelle, de manière dominante, les psychanalystes ont tendance à s'enfermer, les conduit à ne pas se confronter à la société dans laquelle, eux, leur théorie et leur pratique, sont immergés, société donnée qui tient sa spécificité de son histoire, dimension qui inclut sa langue et l'évolution de celle-ci, son organisation et ses transformations, en un mot sa politique.
Aujourd'hui, une très grande majorité d'analystes - ce ne fut pas toujours le cas - convient que la psychanalyse, pour pouvoir s'implanter et se développer dans une société donnée, a besoin que celle-ci fonctionne selon les règles d'un Etat de droit, ce qui implique que cette société soit régie par un Etat qui non seulement respecte les droits de l'homme et la liberté individuelle de ses ressortissants mais leur en garantisse le complet exercice. Cela ne va pas toujours de soi, y compris dans des pays, la France par exemple, mais aussi bien les Etats-Unis, qui se targuent volontiers d'être d'ardents défenseurs des droits de l'homme à travers le monde. Cette condition, celle que constitue l'existence d'un Etat de droit, est nécessaire. Mais l'expérience tend à démontrer qu'à défaut d'être suffisante - la question de la suffisance, s'agissant de la psychanalyse est sans doute une question inépuisable, sans fin, comme l'inconscient - elle ne saurait pour autant constituer une garantie du développement, voire de la survie de la psychanalyse dans la mesure même où cette question des droits de l'homme et de leur respect par l'Etat est une question d'ordre politique et comme telle en constant mouvement.
La survie et le développement de la psychanalyse dans une société donnée supposent donc, qu'au regard de cette nécessité que constitue l'existence d'un Etat de droit, les psychanalystes de leur côté s'en donnent les moyens : parmi ceux-ci, une politique de la psychanalyse devrait faire l'objet d'une réflexion et d'une élaboration prioritaires. Or tout démontre, à commencer par la prégnance de l'alternative évoquée, que les psychanalystes dans leur ensemble résistent à une politique de la psychanalyse.
Qu'entend-on ici par politique de la psychanalyse ? Comme pour toute entité, pays, entreprise etc.. , une politique, en l'espèce celle de la psychanalyse comporte un versant intérieur et un versant extérieur. La politique intérieure de la psychanalyse traite des modalités d'organisation des psychanalystes entre eux : le problème posé par la multiplication des groupes, écoles ou associations est de son ressort2 mais aussi bien la question de la transmission de la psychanalyse et de la formation des analystes. La politique extérieure de la psychanalyse concerne notamment les modalités de réaction des analystes aux formes de résistance à la psychanalyse en provenance de l'extérieur, c'est à dire de la société.
Il s'agira ici d'esquisser l'approche de la seconde dimension dont il apparaît à l'évidence qu'en y résistant, en résistant à une politique de l'analyse impliquant une confrontation avec la société, les psychanalystes s'abstiennent de résister aux résistances de la société à la psychanalyse, autrement dit de se confronter avec la politique de la société, c'est à dire la politique tout court.
Tenter de clarifier un tant soit peu cette situation implique peut être que l'on s'interroge sur cette notion de résistance aujourd'hui, dans la psychanalyse et dans la société.
Commençons par rappeler deux énoncés freudiens qui sont à même de commander cette esquisse d'exploration.
En 1917 d'une part, en 1925 ensuite, Freud3 pose sans la moindre ambiguïté que les résistances à la psychanalyse d'origine affective prennent toujours le pas sur celles qui sont d'origine intellectuelle. Cela signifie que les formes de rejet de la psychanalyse qui se présentent comme le point d'aboutissement de raisonnements d'ordre philosophique, religieux ou qui se réclament d'une conception de la science sont en réalité toujours sous-tendues par un processus impensé, d'ordre affectif. Bien évidemment l'utilisation par Freud de ce terme d'affectif ne fait que masquer son incertitude quant à la localisation précise des résistances à l'analyse dans l'appareil psychique et l'on sait que ça n'est qu'en 1926 qu'il en viendra à concéder, sans "mauvaise grâce", qu'après la disparition des résistances du moi, demeure "l'emprise de la compulsion de répétition, l'attraction exercée par les prototypes inconscients sur le processus pulsionnel refoulé", facteur que l'on peut, poursuit-il, "qualifier (...) de résistance de l'inconscient"4.
Indépendamment de cette question de la localisation, l'affirmation de la domination des résistances affectives sur les résistances intellectuelles implique l'hypothèse d'une identité entre les résistances individuelles, celles des patients en analyse et les résistances collectives, exprimées au nom de courants philosophiques, d'églises ou de conceptions de la science. S'agissant de cette hypothèse, Freud, dans son article de 1925, est également très explicite : "... en collectivité, l'homme se comporte, à l'égard de la psychanalyse, exactement comme le névrosé en traitement auquel, par suite d'un travail patient, on a pu démontrer que tout s'est passé ainsi qu'on le prévoyait. Mais cette précision est le résultat de recherches entreprises sur d'autres névrosés, au cours de quelques décades de labeur. C'est une lourde tâche, ajoute alors Freud, que d'avoir pour patient le genre humain tout entier"5. La conception exprimée là véhicule l'idée d'une démarche libératrice porteuse d'un dévoilement, d'une mise à jour d'un sens caché, à laquelle le patient aussi bien que la société résistent. Certes on ne devra pas oublier que Freud s'est plus d'une fois écarté de cette conception : dans le cadre de l'une des premières définitions qu'il donne de la résistance d'abord, celle que l'on trouve dans la Traumdeutung, dont Lacan a donné une traduction qui, de par son insistance, souligne la précoce démarcation freudienne vis à vis de cette conception strictement thérapeutique, la résistance y étant posée comme : "Tout ce qui détruit, suspend, altère la continuation du travail" (Arbeit)6, dans cet autre cadre ensuite, près de quarante ans plus tard, lorsqu'il qualifie d'impossible le métier d'analyste pour en signifier l'incontournable inachèvement7. Il n'en reste pas moins que la conception dite par la suite orthopédiste ou adaptative a pu penser trouver sa légitimité dans ce qui pouvait y figurer comme traces au fil du texte freudien et que la psychanalyse, une certaine psychanalyse a pu ainsi croire vaincre les résistances de la société en répondant à ses demandes normatives.
Lourde tâche" dit Freud que d'avoir "pour patient le genre humain tout entier" : l'utopie d'un psychothérapeute des masses ne persistera guère dans la pensée freudienne, elle trouvera sa butée dans le constat désabusé de la politique du Président Wilson, jugée à juste titre désastreuse8 et plus tard dans celui qu'une réflexion par trop développée sur la question du "grand homme" conduirait à des zones obscures risquant de l'entraîner loin de son but9. Il n'en reste pas moins que Freud aborde là, fut-ce succinctement, les rivages de ce champ de la politique auquel il était bien loin d'être aussi indifférent que ce que l'on a pu le dire, champ de la politique dans lequel on retrouve à l'œuvre la notion de résistance.
C'est un fait que, depuis la seconde guerre mondiale notamment, le terme de résistance a pris dans l'ordre de la politique une consistance incontournable, qu'il s'agisse de la Résistance française à l'occupation allemande ou qu'il s'agisse, suite à cette guerre, des divers mouvements de libération nationale qui ont organisé la résistance aux puissances coloniales engageant du même coup le de décolonisation à travers le monde. Dans ce contexte politique, résister signifie s'opposer aux forces économiques et politiques qui entravent la liberté et portent atteinte aux droits de l'homme. Il pourrait sembler que le terme de résistance fonctionne dans ce cadre à rebours de son sens freudien : dans ce dernier, le patient, la société résistent à l'entreprise ou à la conception libératrice que constitue la psychanalyse, dans l'autre, les peuples résistent à l'oppression pour se libérer. Mais cette contradiction n'est en fait qu'apparente : que l'on résiste à une force d'oppression pour se libérer ou que l'on se livre à un travail destiné à lever les résistances pour se libérer de l'emprise névrotique, les deux mouvements s'inscrivent dans une dynamique visant au recouvrement d'une plénitude, plénitude du sens en psychanalyse, plénitude des droits et de la liberté dans le champ politique. Ajoutons que cette perspective de plénitude, et le terme ne va pas sans évoquer celui de totalité, véhicule de manière plus ou moins explicite l'idée de fin, celle de l'atteinte d'un état non susceptible de se modifier.
Force est alors de constater, si l'on considère la période historique de cette seconde moitié du XX° siècle, qu'elle a été marquée, le plus souvent au nom des idéaux de libération qui étaient ceux des mouvements de résistance, par la multiplication de ces thérapeutes de masses dont l'idée vint à l'esprit de Freud, chefs charismatiques, pères des peuples, guides suprêmes et autres grands conducteurs qui n'ont eu de cesse de "normaliser" ce qu'ils considéraient comme "leurs" peuples pour les conduire au moindre coût - la découverte du prix réel participa de ce que l'on a pu appeler le désenchantement ouvrant à la postmodernité - vers l'eldorado d'une paix éternelle, d'un apaisement du pulsionnel. Par où venait apparemment à se vérifier la validité de la conception freudienne du fonctionnement des masses, décalque de ces "foules artificielles" organisées autour de l'axe vertical d'une relation au chef mis en place d'idéal du moi, axe premier garant du fonctionnement du second, celui de l'identification entre eux des membres de ce collectif, compagnons, frères ou camarades à même ainsi de recourir à tous les procédés pour éliminer tout élément extérieur à cette architecture compacte. La rencontre entre cette théorisation freudienne d'un certain fonctionnement politique et la réalité accomplie ou potentielle - la prégnance du fantasme de la perpétuation du chef, posé comme irremplaçable quand bien même eut-il été démocratiquement élu n'est pas à démontrer - de la plupart des sociétés de la seconde moitié du XX° siècle aura été telle que pendant longtemps les psychanalystes, qu'il s'agisse de leurs organisations ou de leurs conceptions théoriques du politique, y auront vu la quintessence du lien social.
L'élaboration d'une politique de la psychanalyse suppose dans un premier temps le démontage de cette double conception - individuelle et collective - qui met en place de manière répétitive un horizon porteur d'un temps de l'avènement d'où l' événement et ce qu'il comporte d'imprévu, d'incertain et de périlleux est d'emblée exclu et avec lui la psychanalyse, soit qu'elle ne serve plus à rien une fois en vue - fut-ce sous la forme d'un mirage - l'eldorado annoncé, soit qu'elle soit tenue, au titre de système, comme coresponsable de la mise en place des monstres froids.
Ce temps premier du démontage a amplement été inauguré par Lacan sur les deux terrains, psychanalytique et politique, où opère cette notion de résistance mais sa reprise ou son prolongement semblent aujourd'hui en panne et le chantier est comme arrêté.
C'est en réfutant l'idée d'un possible recouvrement de la plénitude d'un sens caché comme objectif du processus d'interprétation et en faisant apparaître la rémanence, constitutive de l'inconscient, d'un reste de non-sens inépuisable que Lacan a déplacé en plusieurs étapes10 la question de la résistance pour la reporter systématiquement du côté de l'analyste. Il y aurait lieu dans cette perspective, à maintenir un temps l'analogie freudienne entre l'individuel et le collectif, de s'interroger de très prés sur les résistances à la psychanalyse auxquelles la psychanalyse a donc pu donner naissance, sur les résistances à la psychanalyse qu'une certaine ingestion de la psychanalyse, et pas seulement de sa vulgate, par la société a pu engendrer dans cette même société. De ce point de vue, à ne s'en tenir qu'à ce qui a pu être, un temps, considéré comme l'âge d'or de la psychanalyse, on ne voit pas que l'observation freudienne selon laquelle la psychanalyse devenue d'un intérêt général ne pouvait que déchaîner "une tempête de réfutations indignées"11 doive être considérée comme périmée.
Mais Lacan est aussi intervenu sur l'autre versant du fonctionnement de ce terme de résistance et de ce dont il a pu être porteur : il n'a jamais raté l'occasion de faire valoir, aussi énergiquement que Freud, son scepticisme quant à cette conception, celle du "parti de la prêcherie politique"12 qui assigne à la politique la charge d'entretenir cette espérance qu'il rappelle avoir vue à l'œuvre, à même, au nom de ces lendemains qui chantent, de "mener les gens (...) au suicide tout simplement"13.
Imaginer un instant que parce qu'une certaine organisation du monde qui se prêtait à une représentation de la politique en termes de jeu d'échec ou de partie de football a disparu, les sociétés contemporaines auraient renoncé à exercer ce type d'emprise, à faire rêver les peuples, cela consisterait à confondre l'utopie libertaire d'Internet avec la démocratie et la liberté, à imaginer que le phénomène de la mondialisation serait porteur d'on ne sait quel effacement des différences et des fractures. Ces différences et ces fractures de tous ordres qu'au nom de consensus imaginaires et d'entreprises humanitaristes il serait question de réduire, voire d'abolir par des moyens plus discrets mais non moins efficaces que ceux constitués naguère par les grands thérapeutes de masses, elles sont plus que l'origine, le processus politique comme tel. Dans un second temps, une politique de la psychanalyse n'a de sens qu'à reconnaître, avec ses moyens conceptuels, en chaque occasion, à aider à se révéler, là où elle se manifeste et là où elle est combattue cette conception de la politique qui réfute tout fantasme d'achèvement ou de fermeture. Elle passe par une nomination des formes contemporaines du malaise, par la désignation des effets, dans la subjectivité au quotidien des pratiques, des formes les plus brutales de la mondialisation qui excelle dans la compression, la manipulation, la délocalisation de ce qu'elle appelle avec un cynisme rarement dénoncé les "ressources humaines".
Ni défaite annoncée pour cause de crise infinie, ni repli des psychanalystes sur l'Aventin de leur pureté théorique, une politique de la psychanalyse à laquelle continuent de résister les psychanalystes impliquerait que ceux-ci théorisent les formes sous lesquelles ils ont à se confronter aux formes modernes de diffusion de l'information et du savoir - dans le domaine de l'éducation et plus généralement s'agissant de tout ce qui touche à l'enfance, pour autant que s'y joue cette part essentielle du processus de maintien de la domination que Marx appelle la reproduction - et aux processus d'emprises et de résistances qui s'y trouvent mis en place. C'est à ce prix et en ce sens que la métaphore de la thérapie de masse conserve sa validité, celle que Freud indique très clairement lorsque écrivant au pasteur Pfister en lui indiquant qu'il pourrait faire de cette lettre tout usage qui lui semblerait bon, il lui rappelait avoir souvent dit qu'il tenait "... la signification scientifique de l'analyse pour plus importante que sa signification médicale et, dans la thérapeutique son action de masse par l'explication et l'exposition des erreurs pour plus efficace que la guérison des personnes isolées"14.
Notes
1. Sigmund Freud, "Le clivage du moi dans le processus de défense" (1938) in Résultats, idées problèmes, vol. II, Paris, PUF, 1985.
2. Cf. le thème du n°1 de la revue Essaim, "De la communauté issue de l'enseignement de Lacan".
3. Sigmund Freud, "Une difficulté de la psychanalyse" (1917), in L'inquiétante étrangeté, Paris, Gallimard, 1985 ; Sigmund Freud, "résistances à la psychanalyse" (1925) in Résultats, idées problèmes, vol. II, Paris, PUF, 1985.
4. Sigmund Freud, Inhibition symptôme et angoisse (1926), paris, PUF, 1978.
5. Sigmund Freud, op. cité. 1925.
6. Jacques Lacan, Le Séminaire, livre I, Les écrits techniques de Freud, paris, Seuil, 1975.
7. Sigmund Freud, "L'analyse avec fin et l'analyse sans fin" (1937) in Résultats, idées problèmes, vol. II, Paris, PUF, 1985.
8. Sigmund Freud, Malaise dans la civilisation (1929), Paris, PUF, 1978.
9. Sigmund Freud, L'Homme Moïse et le monothéisme (1939), Paris, Gallimard, 1986.
10. Erik Porge, "Résistances à la psychanalyse" in Colloque de Cerisy Depuis Lacan, paris, Aubier, 2000.
11. Sigmund Freud, op. cité. 1925.
12. Jacques Lacan, Le Séminaire, livre XVII, L'envers de la psychanalyse, Paris, Seuil, 1991.
13. Jacques Lacan, Télévision, Paris, Seuil, 1974.
14. Correspondance de Sigmund Freud avec le pasteur Pfister (1909-1939), paris, Gallimard, 1967.
|
|